Bag’Show 2015 Paris – Reportage dans la Machine du Moulin Rouge
Bag’Show 2015, organisée par la Baguetterie
Paris : des légendes et des fûts pour un cru exceptionnel !
Paris : des légendes et des fûts pour un cru exceptionnel !
« United we Drum » est sans doute le slogan qui représente le mieux l’unité que nous voulons apporter à cette grande messe du batteur. Nous réunissons cette année les marques légendaires Gretsch, Latin Percussion, DW et Paiste : deux stands qui se tiennent fièrement en joue, unies dans un même projet mais dans le respect de chaque caractère !
Samedi 24 octobre, montage de nos stands…
Une Gretsch Broadkaster épurée comme il se doit, une Brooklyn mariée aux nouveaux fûts LP Raw Street Series et des congas LP trônant devant un stand dédié à François Constantin, font face en cette fin de journée de montage à une DW Collector laquée chrome et or, habillée d’une trentaine de cymbales Paiste dont les fameuses PSTX !
Notre stand est enfin prêt, il est 19h00…
La journée est loin d’être terminée car nous avons rendez-vous dans les appartements de Steve Ferrone dans le 16ème, pour une interview avec notre équipe de tournage. L’ambiance est détendue, nous n’étions pas venus les mains vides… Châteauneuf du Pape et cigares Partagas, feront office de dégustation pendant cette entrevue d’une dimension singulière. La soirée se termine au restaurant, entourés de Tony Royster qui nous rejoint avec nos amis de chez Roland, Steve Ferrone, Martin Verdonk, les ambassadeurs DW USA et UK Scott Donnel et David Phillips et notre équipe GEWA ! Une tablée de rêve pour les passionnés que nous sommes.
Dimanche 25 octobre, jour du show…
Ouverture des portes à 7h00. Tout le monde s’affaire sur scène pour le montage de chaque plateau. Martin Verdonk représente LP et procède aux premières balances. Quelques heures plus tard, lors de sa prestation, placé entre deux batteurs de métal, Martin apporte au travers de son humour et de ses précieux conseils, la touche du percussionniste moderne et traditionnelle à la fois, indispensable à cet évènement.
Thomas Pridgen (DW) arrive à 13h00 à La Machine du Moulin Rouge. Son avion vient d’atterrir ce matin à Paris. Il vient de Francfort où il a joué la veille, et reprend le train pour Bruxelles ce soir pour poursuivre sa tournée. Le timing est serré. Une interview est réalisée à son arrivée sur le toit de la salle. C’est un « Phénomène » avec qui nous passons un bon moment de franche rigolade ! Il jouera à 15h00, selon son instinct, généreux et puissant, sans arrière pensé.
Pendant ce temps, Steve Ferrone rejoint nos artistes Gretsch français sur notre stand. Le mythique lancé de T-shirts de Daniel et la séance signatures peuvent commencer! L’action est reconduite avec Thomas Pridgen et nos endorsés DW avec autant de succès. Merci à tous, you’re the drum family !
Mais où est donc Tony Royster ?
Programmé juste après Thomas Pridgen. Frédéric Nichèle (Marketing Manager Roland France) s’inquiète de son retard, car le temps
Une Gretsch Broadkaster épurée comme il se doit, une Brooklyn mariée aux nouveaux fûts LP Raw Street Series et des congas LP trônant devant un stand dédié à François Constantin, font face en cette fin de journée de montage à une DW Collector laquée chrome et or, habillée d’une trentaine de cymbales Paiste dont les fameuses PSTX !
Notre stand est enfin prêt, il est 19h00…
La journée est loin d’être terminée car nous avons rendez-vous dans les appartements de Steve Ferrone dans le 16ème, pour une interview avec notre équipe de tournage. L’ambiance est détendue, nous n’étions pas venus les mains vides… Châteauneuf du Pape et cigares Partagas, feront office de dégustation pendant cette entrevue d’une dimension singulière. La soirée se termine au restaurant, entourés de Tony Royster qui nous rejoint avec nos amis de chez Roland, Steve Ferrone, Martin Verdonk, les ambassadeurs DW USA et UK Scott Donnel et David Phillips et notre équipe GEWA ! Une tablée de rêve pour les passionnés que nous sommes.
Dimanche 25 octobre, jour du show…
Ouverture des portes à 7h00. Tout le monde s’affaire sur scène pour le montage de chaque plateau. Martin Verdonk représente LP et procède aux premières balances. Quelques heures plus tard, lors de sa prestation, placé entre deux batteurs de métal, Martin apporte au travers de son humour et de ses précieux conseils, la touche du percussionniste moderne et traditionnelle à la fois, indispensable à cet évènement.
Thomas Pridgen (DW) arrive à 13h00 à La Machine du Moulin Rouge. Son avion vient d’atterrir ce matin à Paris. Il vient de Francfort où il a joué la veille, et reprend le train pour Bruxelles ce soir pour poursuivre sa tournée. Le timing est serré. Une interview est réalisée à son arrivée sur le toit de la salle. C’est un « Phénomène » avec qui nous passons un bon moment de franche rigolade ! Il jouera à 15h00, selon son instinct, généreux et puissant, sans arrière pensé.
Pendant ce temps, Steve Ferrone rejoint nos artistes Gretsch français sur notre stand. Le mythique lancé de T-shirts de Daniel et la séance signatures peuvent commencer! L’action est reconduite avec Thomas Pridgen et nos endorsés DW avec autant de succès. Merci à tous, you’re the drum family !
Mais où est donc Tony Royster ?
Programmé juste après Thomas Pridgen. Frédéric Nichèle (Marketing Manager Roland France) s’inquiète de son retard, car le temps
presse. Heureusement, son matériel Roland est opérationnel et ses fûts DW sont réglés par Scott Donnel (Direction Marketing DW USA) qui connait bien son set, aidé par Patrice Le Roi (Spécialiste DW France). L’affaire est réglée aux petits oignons. Les soirées parisiennes finissent toujours par égarer les artistes du monde entier. 🙂
Tony l’extraterrestre de la batterie finit par arriver et la magie s’opère !
Plus tard dans l’après-midi, en backstage, Fifi Chayeb (basse), Mao Blanc (guitare) et Steve Ferrone se consultent pour les dernières mises au point du répertoire qu’ils vont jouer. A 18h30, Mr Ferrone sur scène : « je joue pour le groove, c’est la chose la plus difficile et la plus importante à réaliser… ». Nous vivrons son groove pleinement au travers d’accompagnements rythmiques souples, vivants et dosés dans son soutien aux musiciens.
Le Paris Drums Festival ne serait pas ce qu’il a été ce dimanche là sans ses visiteurs passionnés, l’équipe de La Baguetterie, organisatrice de l’événement, et tous les autres batteurs extraordinaires présents. Rendez-vous dans un an !
Tony l’extraterrestre de la batterie finit par arriver et la magie s’opère !
Plus tard dans l’après-midi, en backstage, Fifi Chayeb (basse), Mao Blanc (guitare) et Steve Ferrone se consultent pour les dernières mises au point du répertoire qu’ils vont jouer. A 18h30, Mr Ferrone sur scène : « je joue pour le groove, c’est la chose la plus difficile et la plus importante à réaliser… ». Nous vivrons son groove pleinement au travers d’accompagnements rythmiques souples, vivants et dosés dans son soutien aux musiciens.
Le Paris Drums Festival ne serait pas ce qu’il a été ce dimanche là sans ses visiteurs passionnés, l’équipe de La Baguetterie, organisatrice de l’événement, et tous les autres batteurs extraordinaires présents. Rendez-vous dans un an !
