A la recherche des plus beaux érables du monde
[fancyimg src= »http://www.gewamusic-france.com/wp-content/uploads/2012/08/Reportage-VGS-SelectionBoisCroatie-001-1-225×300.jpg » height= »300″ href= »http://www.gewamusic-france.com/wp-content/uploads/2012/08/Reportage-VGS-SelectionBoisCroatie-001-1.jpg » type= »photo » align= »left »]
C’est une équipe de fins connaisseurs que j’accompagne en Croatie à la recherche des plus beaux bois qui équiperont nos guitares VGS Eruption Europe, Spirit, Radioactive TD-1 et Special.
Dans l’aéroport au départ de Munich pour Zagreb : Bruno Bianchi qui a contribué au développement des guitares Framus de 1995 à 1998 (chef de projet et développement VGS), Thommy Neuhierl (chef de produit VGS), Uwe Prüssner (directeur commercial Gewa Group et spécialiste guitares) et moi-même (directeur général Gewa France et guitariste passionné)
L’avion est un petit coucou qui transporte à peine une trentaine de personnes. La destination est encore assez peu fréquentée, de par les tristes souvenirs d’une guerre encore présente dans les mémoires. En effet, les achats de bois ont étés boudés pendant des années car les forêts, minées, étaient difficiles d’accès et les bois précieux, souvent abîmés par des éclats d’obus…
C’est une équipe de fins connaisseurs que j’accompagne en Croatie à la recherche des plus beaux bois qui équiperont nos guitares VGS Eruption Europe, Spirit, Radioactive TD-1 et Special.
Dans l’aéroport au départ de Munich pour Zagreb : Bruno Bianchi qui a contribué au développement des guitares Framus de 1995 à 1998 (chef de projet et développement VGS), Thommy Neuhierl (chef de produit VGS), Uwe Prüssner (directeur commercial Gewa Group et spécialiste guitares) et moi-même (directeur général Gewa France et guitariste passionné)
L’avion est un petit coucou qui transporte à peine une trentaine de personnes. La destination est encore assez peu fréquentée, de par les tristes souvenirs d’une guerre encore présente dans les mémoires. En effet, les achats de bois ont étés boudés pendant des années car les forêts, minées, étaient difficiles d’accès et les bois précieux, souvent abîmés par des éclats d’obus…
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Notre mission sera de découvrir de nouvelles sources d’approvisionnement pour notre production.
Les forêts primaires de Croatie et de Bosnie sont réputées pour avoir les plus beaux érables du monde.
Nous devons nous rendre au Sud-Est de Zagreb pour visiter quelques scieries.
Notre arrivée dans l’aéroport de Zagreb nous transporte dans un autre temps.
Notre mission sera de découvrir de nouvelles sources d’approvisionnement pour notre production.
Les forêts primaires de Croatie et de Bosnie sont réputées pour avoir les plus beaux érables du monde.
Nous devons nous rendre au Sud-Est de Zagreb pour visiter quelques scieries.
Notre arrivée dans l’aéroport de Zagreb nous transporte dans un autre temps.
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C’est un pays jeune, en pleine restructuration et à la recherche de développement, qui nous accueille.
Un taxi nous attend et nous emmènera à notre hôtel dans la capitale.
Un bâtiment chargé de gigantisme, avec des couloirs interminables et des salles de réception inchauffables nous plonge dans la démesure de l’ancien régime.
C’est un pays jeune, en pleine restructuration et à la recherche de développement, qui nous accueille.
Un taxi nous attend et nous emmènera à notre hôtel dans la capitale.
Un bâtiment chargé de gigantisme, avec des couloirs interminables et des salles de réception inchauffables nous plonge dans la démesure de l’ancien régime.
Le lendemain, nous sillonnons les campagnes pour nous rapprocher de ces étendues boisées de plus en plus denses en végétation, faisant partie du plus grand écosystème inondable d’Europe Centrale entre la Croatie et la Hongrie. Notre première visite a lieu à 50 kms de la frontière Bosniaque.
L’accueil est incroyablement chaleureux. Il est 10h30, un petit déjeuner nous attend devant la scierie.
Il commence par un verre de bienvenue. Un alcool de prune qui me fera bouillir l’estomac encore vide…
La visite se poursuit dans les ateliers par une présentation de leurs plus belles pièces de bois.
Les lieux de stockage sont savamment équipés de systèmes régulés d’air pour un séchage optimal.
Le début d’après-midi s’organise pour une excursion dans un parc naturel qui avoisine l’usine que nous quittons.
Notre 4×4 Toyota s’enfonce rapidement dans une espèce de bush que je découvre, émerveillé par autant de diversité. Des arbres gigantesques aux essences rares couvrent le ciel.
C’est au bout d’une piste interminable que s’achèvera notre course. Face à nous, une petite fermette plantée au beau milieu d’un marécage.
Un feu crépite, un garde forestier nous attend, faisant cuire au feu de bois des carpes géantes pêchées dans ce Bayou slave.
C’est là, au milieu de nulle part, que nous parlerons de notre passion commune du bois, que nous échangerons nos expériences professionnelles et aussi celles de nos vies..
L’accueil est incroyablement chaleureux. Il est 10h30, un petit déjeuner nous attend devant la scierie.
Il commence par un verre de bienvenue. Un alcool de prune qui me fera bouillir l’estomac encore vide…
La visite se poursuit dans les ateliers par une présentation de leurs plus belles pièces de bois.
Les lieux de stockage sont savamment équipés de systèmes régulés d’air pour un séchage optimal.
Le début d’après-midi s’organise pour une excursion dans un parc naturel qui avoisine l’usine que nous quittons.
Notre 4×4 Toyota s’enfonce rapidement dans une espèce de bush que je découvre, émerveillé par autant de diversité. Des arbres gigantesques aux essences rares couvrent le ciel.
C’est au bout d’une piste interminable que s’achèvera notre course. Face à nous, une petite fermette plantée au beau milieu d’un marécage.
Un feu crépite, un garde forestier nous attend, faisant cuire au feu de bois des carpes géantes pêchées dans ce Bayou slave.
C’est là, au milieu de nulle part, que nous parlerons de notre passion commune du bois, que nous échangerons nos expériences professionnelles et aussi celles de nos vies..
Frank Haesevoets
Photos ©2012 – Frank Haesevoets
